Pour faire du mix , il y a plusieurs solutions qui peuvent être plus ou moins intéressantes selon ce que vous aimez. Autant le dire tout de suite : pour moi, toutes les supports pour mixer se valent à condition de savoir les utiliser.
Aujourd’hui, je vais vous parler de quelques-uns de ces supports de mixage , pour que vous puissiez voir ce qui peut vous correspondre. À vous les joies du mix !
La table de mixage, une référence
Commençons par le plus simple qui est la table de mixage . C’est aussi la solution la plus connue pour faire des mixes, et elle est aussi bien adoptée par les professionnels que les amateurs en quête de la perle rare.
Ce qui frappe en faisant la découverte d’une table de mixage , c’est qu’il y a trop de boutons. Inutile de vous faire de frayeur ! En effet, c’est moins complexe que ça en a l’air une fois qu’on a compris comment ça marche.
Cette profusion de boutons représente autant de possibilités de faire de belles choses. C’est pour cette raison qu’il n’est pas nécessaire de débourser tout ce que vous avez pour espérer avoir un rendu de qualité avec une table de mixage.
Vous l’aurez compris : c’est un matériel complet qui n’a plus rien à prouver en matière de performance. Avis aux amateurs de réglages précis qui y verront plus d’une opportunité.
La console amplifiée, un instrument pratique
Ce qui est bien avec la console amplifiée , c’est qu’elle est compacte et qu’on voit tout de suite qu’elle a été conçue pour être pratique. Je peux résumant son concept on disant que c’est une table de mixage portable munie d’un système d’amplification.
Il suffit de bien comprendre son fonctionnement de base pour pouvoir l’utiliser à toutes les sauces, à toutes les occasions. On ne va pas se mentir : l’ automatisation des manipulations est un plus non négligeable si vous n’avez pas l’envie ni le courage de vous pencher sur des modes d’emploi qui donnent mal au crâne
Comment choisir son mixeur ?
Il y a toute une multitude de questions qui doivent se poser au moment de choisir un mixeur . La première est de savoir si les étiquettes sont lisibles et compréhensibles. Ça n’a pas l’air de grand-chose, mais ça vous permettra de gagner du temps.
Autre élément à considérer : il ne faut pas que le mixeur présente de boost répétitif supérieur à 20kHz.